• Le KRB open the door : Qui est Dawes ?

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    NB : cette lecture sera incompréhensible détachée des articles précédents.  

    Dawes est un ivrogne. Il a probablement été assassiné parce qu’il donnait des informations sur le trafic d’opium, mais il a pu également tomber tout seul dans les eaux du port. C’est un point à remarquer, car l’histoire entière parle d’alcool et d’opium, fausses lumières. Dawes est un double annonçant le capitaine Haddock, fameux poivrot, que Tintin va bientôt rencontrer. Il est peut-être le ka puant de Haddock.

    Un « matelot » porte ce nom car il partage son lit (matelas) avec un compagnon (Maat en hollandais, clin d’œil pour Maat*, qui pèse les âmes à la mort dans le symbolisme égyptien ?). Ce compagnon, c’est le double. Ah, vous ne savez pas que vous avez un double ?

    Remarquons qu’un matelot ne devait pas posséder de louis d’or, vrais ou faux, mais plutôt des pièces de cuivre, des liards. En anglais, et tout l’album est « anglé », liar est un menteur.

    En 1887, le Dawes Act (de Henry Dawes) permet la vente des terres des tribus amérindiennes aux particuliers. Hergé connaissait bien l’histoire amérindienne pour avoir dessiné « Tintin en Amérique », où comme on l’a vu il a présenté les bussinessmen et le gouvernement américain (qui envoie l’armée pour déloger les indiens de leurs terres ?) comme des voyous.

    Plus près d’Hergé, le plan Dawes (C.G) a été mis en place après la guerre de 1914-1918 pour régler la question des réparations réclamées à l’Allemagne, par l'octroi d’un emprunt aux banques anglaises et américaines. Peut-être y a-t-il un rapport avec la fausse monnaie et les menteurs ? Là encore, quelques années plus tard, les mêmes fonds ont financé Hitler.

    La fausse monnaie est de la monnaie de singe, et ce mot sert fréquemment à désigner Saint-Jean. Je n’ai pas d’explication, je me contente de déballer ce qui est livré à nos yeux.

    Quelle que soit l’origine du nom, Dawes représente un des visages du mal ou de l’ombre, car dans le « Lotus bleu » puis dans « Coke en Stock », sous le pseudonyme de Dubreuil (un breuil est un brûlis, un bois brûlé pour défricher la terre, donc un rapport avec le feu), on a le personnage odieux de JM Dawson. La racine bretonne AW qui a donné Avalon, aval, indique l’Ouest, la fin. Daw, c’est également deux, ça parle de double, de diable, de K, de ka. Dawson, c’est le fils du diable.

    Passons aux louis

    Examinons un louis.

    Deux faits remarquables : sous les règnes de Louis XIII, XIV et XV, l’avers des pièces porte l’inscription DG - FR ET NAV REX, « par la Grace Divine, roi de France et de Navarre » ; sous le règne des deux premiers, le revers porte 4 paires de L adossés, soit huit L, ce qui peut se lire Lhuit, Louis. Quatre paires d’ailes évoquent les 4 évangélistes, le sphinx, les keroubim, et les 4 fils d’Horus. Retenons ici pour la suite la racine KRB, qu’on retrouve dans le nom du navire. Quel navire ?

    FR ET NAV(arre), peut devenir fret nav(ire), c'est-à-dire un cargo, comme le Karaboudjan, sur lequel naviguait Dawes. Cette lecture est encouragée par la vision des mouettes qui avertissent Tintin de la chute d’une lourde caisse de boîtes de sardines.

    Les travaux de Bertrand Portevin ne laissent aucun doute : nous sommes ici prévenus qu’il faut lire ces scènes en langue des oiseaux. Je dirais même plus, Tintin est bien intuitivement prévenu du danger par la contemplation et une communication du monde ailé, des anges.

    Un cargo fait la navette, menant et déchargeant son fret à chaque port, comme d’après Platon : « Il existe une antique tradition dont nous gardons mémoire, selon laquelle les âmes arrivées d'ici existent là-bas, puis à nouveau font retour ici même et naissent à partir des morts » (Phédon, 70c).

    L’attention est donc attirée sur l’importance du bateau, ici vu comme vaisseau des morts. Cargo, dromadaire (vaisseau du désert), barque, canot automobile, et même sous sa forme ailée d’hydravion, qui comme la mouette est un oiseau aquatique, le bateau est ici toujours au premier plan. Le bateau, certes, mais aussi l’eau, l’eau de vie, whisky, rhum, mais aussi l’os, son homophone, qui ouvre et ferme le bal, puisque Milou qui dès la première page découvre le pot aux roses, ou boîte de crabe vide, cherche un os, en trouvera de beaux dans le désert, puis finira par s’en voir offrir un magnifique par un admirateur inconnu en dernière page, dans une boîte, encore.

    Haddock connaît la valeur des os, car lorsque dans le « pays de la soif » Milou découvre un squelette de dromadaire, il est plein de joie, ce qui démontre qu’il a compris que pour lui, os et eau sont identiques. Mais qu’est ce qu’un os ? A l’identique du crabe dont la carapace protège le corps, l’os est une carapace qui enferme la moelle, et Milou peut dire (ou penser) à chaque trouvaille : à moi l’os. L’os à moelle. Moi – El. Rien que ça. 

    Le pays de la Soif désigne le pays des morts. Soi – feu. Comme on disait feu Untel. De l’ardent désir de vivre, comme dans l’Odyssée.

    Ouvrons, trinquons, buvons !

    Si toutes les caisses doivent être ouvertes, c’est également le cas de la bouteille, dive sans doute, dont fait grand usage le capitaine, et de toutes les boîtes, vide poches ou tiroirs de l’aventure. Casser la croute. Le crabe est dans l’O de la couverture, la chair est dans la carapace, et que se cache-t-il encore dans la chair ? Derrière la porte du tonneau aux charnières, explorons les boyaux, il s’y cache de drôles de gens. Si vous saviez ce qui se cache dans nos boyaux ! Visitez l’intérieur de la terre…

    Puis de la cave aux vins capiteux, où l’on s’aperçoit avec ivresse qu’on est le Roi de la Montagne, et que la Dame blanche nous regarde, remontons dare-dare bousculer les préjugés, les fausses indignations, les fausses bibliothèques et le Omar qui porte au cou la clef qui ouvre les portes du cou, justement et font ouvrir grande la bouche. Quelle étonnante aventure !

    Le cheik Omar est un faussaire, un trafiquant, un menteur ; lorsque Tintin débouche des sous-sols, il vient de proférer un gros mensonge aux Dupond(t). Le lecteur sait bien qu’il a menti. En égyptien, amenti désigne l’Occident, le pays des morts. Curieusement, juste après cela, Tintin le heurte en poussant la bibliothèque, et Omar ouvre grand la bouche sur six vignettes sur huit, ce qui rappelle le rite d’ouverture de la bouche pratiqué sur les momies pour leur insuffler le ba et le ka. Les Dupond(t) désignent ensuite le trafiquant d’un : « voici l’homme ! » redoublé, qui a désigné le Christ (ecce homo) dans les évangiles.

    Je note toutes ces découvertes en désordre, sans chercher à leur donner un sens. Comme en archéologie, le sens s’impose lorsque tout est exhumé.

    Combien faut-il de temps pour mettre à nu toutes les couches de sens ? Combien d’années, combien de patientes et attentives lectures ?

    Tout l’album dit et répète : cherchez à l’intérieur, ouvrez les portes, qui claquent, explosent, débouchez le champagne, ôtez les bouchons, décapsulez. Même les boîtes de sardines qui manquent fracasser Tintin sur le port ont leur petite clef. Ouvrez la boîte, et vous y trouverez des poissons sans tête. Or à deux reprises Haddock délirant essaiera d’enlever la tête de Tintin. Mais Haddock sait ce qu'il fait. Enlevons la tête de Tintin, le T, et nous obtenons : in tin, soit en anglais : dans l’étain, ou dans la boîte de conserve. Etonnant, non ? D’autant que dans le Lotus bleu, certain jeune homme voulait déjà décapiter le détective. Au fait, que détecte-t-il, notre héros ? Pour Portevin, Tintin est Athéna, la Sagesse. Qui est dans la boîte, elle aussi. Parfaitement normal que Tintin Athéna soit dans l'éteint heu, l'étain pardon, de Jupiter auquel Héphaïstos a justement fendu le crâne pour qu'elle en sorte toute armée. 

    Rappelons qu'Athéna, c'est la Sagesse. Elle est toute armée car elle ne procède pas par analyse et apprentissage. Elle a ce que les anciens appelaient la "science infuse". Elle représente le pilier caché de l'arbre séphirotique du vide poches. Elle est cachée dans la bouteille, et seule l'ouverture de la tête la laissera surgir.

    Mais pourquoi l’anglais ? Parce que l’album est « anglé », comme le disait le cryptographe Grasset d’Orcet réanimé par l’alchimiste Fulcanelli. Anglé, soit crypté. Tous les mots sont ouvrables, opérables, tout est permutable.

    Rien que le titre est éloquent : LE CRABE AUX PINCES D’OR, c’est LE KERUB OPENS THE DOOR. Vous savez bien, le chérubin (le KRB réservé plus haut, de la racine BRK, la bénédiction ; inversé, c'est la malédiction qui nous a chassé du "jardin") qui garde la porte du Paradis, d’où nous venons, et l’Arbre de vie (puisque nous sommes morts). Ah pardon, vous ne le saviez pas ? Vous croyiez être vivant, au pays des vivants ? Ah, excusez-moi si je vous ai dérangé. Vous pouvez vous rendormir. Je ne ferai plus de bruit. J'étain la lumière.

    Au fait, j’ai repéré quelque chose que Portevin n’a pas vu (incroyable) : S’il dit et explique bien que Fulcanelli est le personnage qui s’adresse à Bob depuis l’hydravion qui recueille les naufragés du Vol 714, j’ajouterai que ceux-ci sont enlevés depuis le cratère comme Élie le fut dans un char volant : VOLCAN ELIE.

    En vrac

    Revenons à nos crabes : que voit-on sur la page de couverture ? Un crabe dans un bel O (lequel annonce la couverture de l’album suivant, l’Etoile mystérieuse, où c’est une étoile à cinq branches que contient le O), et lequel pourrait être un os vu en coupe, Tintin et le capitaine assis chacun sur un méhara, lesquels n’ont qu’une bosse, pleine d’eau, croyais-je, mais non, Bertrand Portevin me fait signe que c'est de la graisse, pas de l'eau ; (dans bosse, il y a os, c’est beau) derrière la croix de leur selle, dans le désert. Le capitaine tient une bouteille à la main, laquelle éclate sous l’impact d’une balle.

    Une balle de plomb tirée d’une carabine volatilise la fausse lumière contenue dans le flacon, et qui rend fou le capitaine. Cela a lieu dans le voisinage du puits de Kefheïr (de la Samaritaine ?).

    On retrouve le plomb dans la mine du crayon, son âme. Le crayon est dans le tiroir. Originellement en plomb, puis en alliage plomb/étain, puis enfin en graphite, lequel est une forme allotropique du carbone, comme le diamant. Possibilité de transmutation et rappel du couteau noir qui peut devenir blanc puis rouge.

    D’une manière générale, l’album, comme « Coke en stock » (et bien d’autres albums, rappelle Bertrand Portevin, l’Île noire, l’Or noir, etc.) met en scène le noir, l’intérieur des choses, les passages verticaux (escaliers, marches, échelles, hublots, évocation de puits et de montagnes), les cales, les caves, les passages secrets (tonneau, boyau, charnières). Tout est faux et truqué. Fausses pièces, fausse bibliothèque, faux aveugle, faux crabe. Je ne dis pas que tout est bidon, puisque c’est dans « Le lotus bleu » que tout le monde passe la moitié de son temps fermé dans des bidons.

    Nous sommes dans le noir. Tintin aura beaucoup exploré le noir : or noir, âmes noires, et quelques poubelles, comme dans cette aventure. Comme Hergé son père a affronté le noir qui l’envahissait souvent, pour enfin parvenir à la lumière. Certaines indications peuvent nous éclairer. D’après Tintin, Karaboudjan est arménien. En arménien, kara signifie noir, ar, har, kar voulant dire montagne. Abou est le père, et Djan désigne l’âme, ce qui est précieux et cher. Un bateau arménien fait immédiatement songer à l’arche du dénommé Noé, échouée sur le mont Ararat. Au fait, en arménien, lumière se dit : louys. Pour Portevin, KARAB OUDJAT, c’est le mauvais œil. Qui renvoie à l’œil monoculé de l’affreux Rastapopulos, le méchant des méchants. Ca rappelle le cyclope Polyphème d'Ulysse, l'oeil de Sauron, l'oeil des Illuminati, et ça désigne toujours l'Ennemi des hommes, le Malin, dit la prière orthodoxe.

    A propos de louys, lux, le breton, qui provient tout droit de la langue mère des Pélasges distingue :

    Lous, Louz, ‘bienfait’ de la racine Lùs ou Lùz, ‘sale’, ‘impur’.

    Autant dire qu’il faut ouvrir l’œil, et le bon, et ne pas oublier cette parole du Christ : "Voici, je vous envoie comme des brebis au milieu des loups. Soyez donc prudents comme les serpents, et simples comme les colombes." (Matt 10.16)

    Le bateau maquillé portera le nom de Djebel Amilah, ou le Mont de la Promesse. Vaisseau alchimique qui de vaisseau des morts, mauvais oeil, porte maintenant la promesse. Certaines boîtes contiennent de l’opium, d’autres du véritable crabe. Ouvrons les boîtes pour savoir qui est qui, quoi contient quoi, car sinon nous resterons dans l’opinion, la généralisation, la connaissance superficielle, l’amalgame... Les mots sont des boîtes aux lettres. Ouvrons les boîtes, les lettres, les mots, les maux, l’Être, le néant. Ouvrons les fenêtres.

    Quoi d’autre, dans ce tiroir ? Une lettre ouverte, justement sous une enveloppe décachetée, qui a franchi les mers. La lettre cachée. Lettre volée, d’Edgar Poe. Décachetons, sortons du cachot, jetons au feu les lettres de cachet, ouvrons les lettres des mots qui nous appartiennent, puisque la parole est humaine, et qu’elle sert à construire, découvrir et déconstruire le monde. Ouvrons les lettres, ouvrons les mots, ouvrons les yeux, réalisons enfin le grand œuvre.

    Les boutons ? La promesse des fleurs épanouies ? A moins que ce ne soient des petites pièces percées, comme celles qui servent au tirage du Yi king, dont Hergé était un grand pratiquant ? Je l’ignore.

    La clef ? Cherchez la serrure. C’est vrai, parfois on est devant une porte fermée, et on n’a pas la clef, d’autres fois, c’est l’inverse. Quelle bêtise d’avoir une clef, la petite clef d’un coffret intime, et de ne pas savoir où est passé le coffret ! Je ne vous dirai pas de quel précieux coffre il s’agit, vous êtes bien assez grands. A chacun son mystère.

    J’y retourne

    Voilà comment on peut lire la vie d’un homme dans le contenu de ses poches, quand c’est Hergé qui raconte l’histoire. Peut-être que tout cela ne sort que de mes fantasmes, n’est que poussière ajoutée et ne mène nulle part. Ou peut-être pas. Vivons dangereusement et légèrement. Nous sommes poussière, et le propre de la poussière, c’est la légèreté. Que la poussière vole et danse dans les rayons du soleil.

    J’arrête là ce périlleux exercice. S’il vous a plu, mais laissé sur votre faim, ce qui est normal car je n’ai moi qu’une petite boîte à outils, empressez-vous de dévorer Portevin, qui lui en a une énorme, grosse comme ça, mais pas la grosse tête, attention, dont les deux livres (hélas, il n’y en a que deux, un troisième est en cours, mais vue la consistance et le fait que le monsieur travaille concomitamment pour gagner sa portion, c’est normal qu’on attende un peu) s’appellent : « Le Monde inconnu d’Hergé », et « Le Démon inconnu d’Hergé » (attention, ce dernier ne se trouve déjà plus que d'occasion).

    Et surtout, lisez et relisez les prodigieuses aventures d’un héros immortel au cœur limpide : Tintin. Ora, lege et relege … 

    PS : Dans sa relecture de ces oeuvrettes, Bertrand Portevin m’a signalé que c’est dans saint Luc et saint Jean, tous deux au chapitre X, que Jésus dit « Je suis la porte ».

    Hé bien, j’ai jeté un coup d’œil en page 10, où l’on voit Allan Thompson faire entrer les Dupondt dans sa cabine. Il signale : "attention, il y a une marche". Et les Dupondt qui ne baissent pas la tête se prennent tous les deux le chambranle. « Et la porte est fort basse », ajoute Allan. Normal, c’est la « porte étroite ». Effectivement, il y a une marche, il faut s’élever. Et baisser la tête, car ici n’entre nul orgueilleux, plein de lui-même. Pour s'élever, il faut nécessairement mettre la tête en berne, couper le mental.

    Pour ceux qui ne baissent pas la tête, cette fameuse tête qui nous sert de bouchon, ça décoiffe.

    * Bertrand Portevin me fait remarquer que cet album est le 8ème des albums en couleurs, correspondant à la carte du Tarot "la Justice", qui rejoint le sens de Maat, au jugement des âmes qu'elle pèse dans une balance.





  • Commentaires

    1
    LLéa
    Vendredi 2 Mai 2014 à 12:59

    Bonjour,

    Merci Jadou.

    Tu veux que je te dise? Tu es un amour. :)

    Parce que tu partage ton érudition, ton grand savoir! C'est quoi cette société ou sont cachés  des messages pour ne toucher que les "initiés"? Ou les chercheurs assidus?  

    L'intelligence n'est réèlle que lorsqu'elle est mise a disposition d'autrui, pour le bien de tous. De tout.

    Grosses bises, 

    PS. A bientôt, toustes,

    PS. Jésus parlait aussi en parabole. Ahaaaa, faut aussi savoir déchiffrer? 

    PS. Jadou, rend moi ma tototte! 

    ;) ;)

     

     

     

    2
    elba
    Samedi 3 Mai 2014 à 14:56

    Je suis loin d'avoir tout compris (par exemple "Omar ouvre grand la bouche sur six vignettes sur huit" - j'ai regardé dans le livre et n'ai pas vu ce qui pouvait s'y rapporter - et quelques autres trucs également qui dépassent mon niveau de culture générale.


    Mais c'était très intéressant. Homard (pardon : Omar) nous vend ses Salaad et nous fait croire que c'est du crabe alors que c'est de la drogue...


    Bref ! En tous les cas, j'ai passé un bon moment divertissant à relire cette BD. Avec un autre regard que celui que j'avais lorsque je l'ai lue autrefois.


    Merci, VJ.


     

    3
    Dimanche 4 Mai 2014 à 20:41

    Tu as raison, Lléa, pourquoi réserver des messages à quelques uns seulement ?

    Mais aussi : il y a partout des messages pour qui a le cœur ouvert, l'intelligence prête.

    Tintin est un vecteur, la Nature un autre, tout est vecteur. L'Esprit passe par tous les pores.

    Je te le dis ici : merci pour ces très belles lampes. Bises.

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