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  • 8 mars 2014, prétendue journée de la femme. De la Femme ? Majuscule ou non, ça ne fait qu'une sur 365.

    Je l'ai passée entre deux de mes filles, ma petite fille, ma femme (Mme VJ), la mère de mes filles (qui n'est pas Mme VJ), et Maryse, 84 ans. Drôle de clan, isn'it ?

    Du béton, pourtant.

    Elles aiment ces journées "entre femmes". Et moi, chuis quoi ? Chais pas, mais pas coi, ces dames me laissant le loisir de m'exprimer, sur divers modes, y compris le mode "macho", pour rire.

    Une bonne journée, en somme.  Ce qui nous relie ? Le plaisir. Plaisir d'amour, sublimé, dure toute la vie. On a repris date pour la prochaine.

    Moins drôle, dans mon journal : jour anniversaire, pour les historiens du futur, s'il en reste, à marquer d'une pierre noire : Laurent Louis, député belge indépendant qui a voué son existence à dénoncer le fascisme ambiant en Belgique, en particulier, et en Europe par extension, paie de sa personne sans relâche, questionnant les "autorités", la "justice" sur l'enterrement des tristes affaires de pédophilie, dont la célèbre affaire Dutroux, où toutes les voix concordantes mais discordantes par rapport à la version officielle sont mortes dans des circonstances étranges, citant des noms, dont ceux de personnalités politiques et affairistes de premier plan, Laurent Louis, pourtant investi d'un mandat par le peuple belge a été arrêté aujourd'hui, par violence.

    Les images courent le net.

    L'une des seules voix indépendante du monde occidental, avec Nigel Farage, vient d'être tue par force. Tuée.

    Demain, n'en doutons pas, nous aurons l'explication rationnelle et républicaine de cette arrestation. Louis, un immonde pervers, avait étranglé sa mère après avoir violé son père, fraudé le fisc, le père et volé la banque du saintesprit. La démocrassie en sortira certainement renforcée.

    Après ce coup    de force public encore jamais osé depuis 1934, et qui signe le véritable jour anniversaire du néo-fascisme, croirez vous encore aux promesses de la démocratie ?

    Demain, n'en doutez-pas, ce sera notre tour, votre tour.

    Après des années de fantasmes, de rêveries, d'incertitude, le temps est maintenant venu de savoir où va notre cœur, votre cœur, notre allégeance.

    Et cependant, face à cette lourdeur faite uniquement pour nous tirer au fond, la vie véritable doit rester légère, une danse sur le volcan.

    Telle est la voie.

     

     

     


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  • Pourquoi les gens qui se posent des questions, qui sont toujours en recherche, pourquoi ces gens-là, quelle que soit leur race, leur origine, leur fortune, sont-ils naturellement plus élégants, plus beaux, comme on peut le vérifier par exemple ci-dessous, chez les supporteurs du docteur Hamer, que ceux, les innombrables qui se satisfont des réponses toutes prêtes, du prêt à porter de la pensée ?

    La réponse après la vidéo. A propos de cette vidéo, je la reprends, comme le font d'innombrables blogs, de blogs précédents. L'origine, évidemment, c'est le martyr, Hamer. L'indispensable relai, c'est Crévecoeur. Mais après, il y a les centaines, les milliers, les millions de colibris. Helios l'a transmis, Paul et moi l'avons repris, mais sans vous qui le voyez, le faites voir,  savoir, sans ces millions de capillaires qui pulsent le sang frais, nul ne survivra à la minéralisation.

    Soyez tous remerciés, vous qui cherchez à comprendre, de cette quête essentielle qui fait de vous, et de nous, les personnes essentielles.   

    La réponse : Parce que la vérité est tailleur.

     

     


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    A celles et ceux qui frémissent devant la montée de la noirceur, je voudrais rappeler que tout croît en proportion, ou, plutôt, que quand un terme de la dualité s'expanse, on le voit bien dans l'image du Tao, l'autre se condense, de sorte que la victoire de l'un n'est qu'apparente.

    La marée montante détruit les châteaux de sable, puis redescend, laissant la plage vierge.

    Nous sommes des condamnés à mort, mais vivons comme si nous l'avions oublié.

    Demain, je serai mort. Les éléments qui composent ma forme vont se dissocier. Qu'importe ?

    Je ne l'oublie pas, mais je n'en ai pas souci. Pourquoi m'en soucier, si je n'ai pas peur ? De quoi aurais-je peur ? Suis-je cet assemblage de poussière, pour craindre de disparaître dans le vent ?  Suis-je vraiment cela ?

    Dans son aller-retour, la mer effacera toute trace, et laissera la plage déserte et nue, pour que des enfants y sculptent de nouvelles formes.

    J'ai été récemment soumis à des agressions qui m'ont déstabilisé, bien sûr; personne n'aime ça. Avant de m'apercevoir que je n'ai rien à craindre. Ce qui est attaqué, ce n'est pas moi.

    C'est ce qui en moi est voué à disparaître, ce qui est mortel, périssable. Ça n'a donc pas la moindre importance. Mieux, c'est un processus de purification.

    Si le gars qu'on a massacré pour avoir dit : "Aime ton ennemi" a dit ce truc là, c'est parce qu'un ennemi fielleux et obstiné est extrêmement utile pour le nettoyage intime. Merci à lui de se charger, tel un vautour, de bouffer mes chairs mortes, ma graisse superflue. 

    On rêve tous de vivre en paix en ronronnant, ou en psalmodiant des mantras. Ça sert à quoi ?

    La saloperie monte et va noyer les châteaux de sable, et ceux qui voudraient y ronronner en paix.

    Mais mourir, c'est franchir une porte. Rien d'autre. L'occasion de s'éveiller, si ce n'est pas fait.

    Adieu, châteaux, de rêve ou de sable.

    L'esprit va. Nulle part où reposer sa tête.  

    L'esprit va, de maison en maison.

     

    La musique est Barakaat, d'Abdullah Ibrahim, du CD Yarona.  


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  • Bon, c'est tout neuf. Jamais mis les pieds. Je viens de débarquer de mon vieux blog qui marchait impeccable jusqu'à ce qu'Overblog m'ait persuadé de faire une mise à jour, où tout va maintenant de travers. Perdu mes abonnés, ceux-ci même après s'être réabonnés ne sont pas prévenus de mes articles.

    A peine si je parviens à répondre aux commentaires.

    Le foutoir total, et en coulisses, du franglais.

    Donc, messieurs les overbloguiens, je me tire le premier.

    J'espère qu'ici, ça va gazer, parce que : hune (comme disent les marins), chuis nul en manipulations informatiques et deux : chuis pas d'une patience angélique, vu que c'est précisément ce que je suis venu apprendre ici-bas, maton dit (comme on dit en prison).

    A propos, M. Valls et Mme Taubira, si vous me lisez (je n'en doute pas) : qu'est devenu Stan Maillaud ?

    C'est une bonne question, je vous l'accorde, et je m'étonne qu'aucun journaliste, aucun député, personne sauf des gens comme moi, des fourmis, des goyim, personne ne s'aventure à vous la poser officiellement.

    Ça devrait quand même vous inquiéter, ces gens qui s'évanouissent comme ça, non ? Vous êtes bien responsables du cheptel, non ? Alors le bondieu, quand il va revenir, vous croyez qu'il va être content de voir qu'il manque plein de monde, des gars et des filles bien, surtout, et des enfants, de très jeunes gens? 

    Vous lui direz quoi, M. Valls, et Mme Taubira ? On savait pas, on s'esscuse, on était trop occupés avec ce salaud de nègre fasciste et antisémite ? Croyez que ça va passer ?

    Moi, si j'étais l'bondieu, comme disait un grand ancêtre, je vous demanderais des comptes, de votre négligence, de votre lâcheté, mes petits bonshommes. 

    Et même que j'soye pas l'bondieu, je crois qu'en un certain point, comme tout le monde, vous aurez des comptes à rendre. 

    Bon, amis lecteurs, c'était la première, juste pour tester la bourrique. Je ferai mieux la prochaine fois (enfin j'espère), comme disent les foutbaleurs.

    Merci à Yog qui m'a aiguillé sur cette piste.

    A la revoyure, les aminches (comme disaient les Pieds Nickelés), si Dieu le veut (comme disent les barbus), bien sûr.


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